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Marvel’s Daredevil – Netflix

J’ai été juré n°1 le week-end dernier. Impossible pour moi de quitter Hell’s Kitchen entre le 10 et le 13 avril. Des mois d’attentes pour un résultat au-delà de mes espérances.

On ne parle pas assez de Daredevil, the man without fear, alors qu’il est l’un des personnages les plus fascinants de l’univers Marvel. La faute du film de 2003 sans doute, qui ne lui rend guère justice dans l’ensemble. Remercions donc Marvel et Netflix d’avoir eu l’excellente idée de remettre le justicier aveugle sur le devant de la scène ! Et d’avance aussi merci pour les autres outsiders – Jessica Jones, Luke Cage et Iron Fist. Les Défenseurs de New-York. (suite…)

One last ride… (Furious 7 – James Wan)

Furious-7-poster Je suis allée voir Furious 7. Je n’étais pas pressée de le voir après ce qu’il s’est passé en novembre 2013. Parce que je savais que les deux heures allaient être difficiles. Je ne m’étais pas trompée.

Je suis une fan de la première heure. J’ai grandi avec les romans de JK Rowling mais encore plus avec Fast and Furious. Je venais à peine de fêter mes 13 ans quand The Fast and the Furious est sorti et je “connaissais” Paul Walker depuis deux ans déjà. 14 ans plus tard, je suis toujours là.  Il n’y a que The Fast and the Furious: Tokyo Drift, que je n’ai pas vu au cinéma, pour la simple raison qu’il ne passait pas dans mon coin de Portugal. (suite…)

Kingsman : Services Secrets – Matthew Vaughn

Kingsman

Le trio gagnant de Kick-AssMark Millar (comics), Matthew Vaughn (réalisation et scénario) et Jane Goldman (scénario) – a frappé une fois de plus. Après les super-héros, voilà qu’ils s’attaquent aux super-espions.

Adapté du comics The Secret Service de Mark Millar et Dave Gibbons, le film ne reprend cependant la trame principale que dans les grandes lignes : Gary, le délinquant au QI élevé qu’un super espion va former au métier d’agent secret et qui va devoir déjouer les machinations du riche mégalomane. Avec style et bonnes manières, of course. Mais avant ça, il devra passer “l’entretien d’embauche le plus violent qui soit”, montrer sa valeur, protéger JB et ne pas se laisser démoraliser par les remarques de ses camarades bien plus fortunés.

Le comics est déjà un petit bijou d’humour noir et d’ironie. Mais le film va bien plus loin. Il est encore plus déjanté, encore plus violent, encore plus classe ! (suite…)

Jersey Boys – Clint Eastwood

Je suis donc allée voir Jersey Boys hier. Et j’ai aimé. Énormément.

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Jersey Boys est l’adaptation du musical de Broadway au succès triomphant depuis sa création en 2005 : pas moins de 8 awards gagnés en 3 ans, dont 4 Tony Awards en 2006 (sur 8 nominations).

Jersey Boys, c’est l’histoire de Frankie Valli, Tommy DeVito, Bob Gaudio et Nick Massi – aka The Lovers aka The Four Seasons.

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Le film de Clint Eastwood reprend fidèlement toute la trame du musical, aussi bien au niveau de la chronologie des évènements, que des dialogues et la mise en scène (les acteurs qui s’adressent au spectateur). Et parce qu’on sent que Clint Eastwood a du respect pour le groupe original (et pour le spectateur), il n’a pas misé sur la célébrité des acteurs (qui a dit Les Misérables ?) mais plutôt sur leur talent : trois des acteurs principaux connaissaient leur rôle à la perfection, chacun d’eux ayant déjà joué ce rôle sur les planches à Broadway, que ce soit lors du tout premier spectacle comme John Lloyd Young (Frankie Valli) ou de la tournée pour Erich Bergen (Bob) et Michael Lomenda (Nick). Seul Vincent Piazza (Tommy) découvrait le rôle, et comme ils le racontaient dans une interview pour Parade cette ignorance se révéla l’ingrédient clé pour rendre le tout encore plus crédible.  (suite…)

La Stratégie Ender – Gavin Hood

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Pendant toute ma lecture du roman, je me suis demandée comment ils allaient adapter tel ou tel passage, et après avoir vu le film, j’en suis venue à la conclusion que La Stratégie Ender fait partie de ces romans qui ne devraient en aucun cas être adapté… pas en film en tout cas, et encore moins en un film qui dure 1h40.

Je dois dire que j’ai été vraiment très surprise quand après 1h20 de film, Ender faisait déjà face à la grande bataille finale. Car c’est là le gros défaut du film : c’est trop court. Et qui dit court, dit rapide. Pourtant, ça partait bien : la situation était clairement expliquée, Peter et Valentine étaient tels qu’ils devaient être, Alai et Bean aussi – même s’il les rencontrait dans un autre contexte – mais à partir du moment où Ender intègre les Salamandre, tout s’enchaîne. Certes, si on fait bien attention au texte on comprend pourquoi Ender est si particulier par rapport aux autres élèves, mais il n’empêche qu’il monte bien trop vite en grade.  (suite…)