Showing: 61 - 65 of 73 RESULTS

Quand j’étais Jane Eyre – Sheila Kohler

Titre : Quand j’étais Jane Eyre
Auteur : Sheila Kohler
Editeur : La Table Ronde / Quai Voltaire

IMG_20120227_155922.jpg

Résumé : Dans le calme et la pénombre, au chevet de son père qui vient de se faire opérer des yeux, Charlotte Brontë écrit, se remémore sa vie, la transfigure. Elle devient Jane Eyre dans la rage et la fièvre, et prend toutes les revanches : sur ce père, pasteur rigide, désormais à sa merci, sur les souffrances de son enfance marquée par la mort de sa mère et de deux soeurs aînées, sur sa passion malheureuse pour un professeur de français à Bruxelles, sur son désespoir face à son frère rongé par l’alcool et la drogue, sur le refus des éditeurs qui retournent systématiquement aux trois soeurs Brontë leurs premiers romans, envoyés sous pseudonymes…

Parlons peu, mais parlons bien : je n’ai pas aimé. Voilà, c’est dit, je vous autorise à quitter la salle.

Avec un tel titre et un tel résumé, la fan de Jane Eyre qui est en moi a sautillé de joie – mais elle a bien vite déchanté au bout de 20 pages.

Premier soucis : c’est long. Le roman ne fait que 250 pages avec des grandes marges, une police 12 (au moins) et 30 lignes par page. Autrement dit, c’est court. Sauf que moi, j’ai trouvé ça long. Et lent. Le roman se divise en trois parties : Manchester 1846, Haworth 1846-1848 et Londres 1848-1853; sauf qu’il y a tellement de flashback et de digression qu’on ne sait jamais où on est, ni quand on est.

Deuxième soucis : le style. Alors soit, c’est bien écrit, plein d’envolées lyriques, de figures de style bla bla. Sauf que : elle est où Charlotte ? Parce que bon, le plus gros du roman est quand même censé être écrit du point de vue de Charlotte – autrement dit, l’auteure du sublime Jane Eyre. Sauf qu’à aucun moment je n’ai retrouvé ce style si particulier et troublant que j’admire tant. Certes, je me base sur une traduction (j’ai aussi lu Jane Eyre en français pour info), mais le résultat reste le même : j’ai trouvé l’ensemble lourd et – paradoxalement – plat malgré les envolées lyriques de l’auteur/traducteur.

Troisième soucis : l’histoire. J’y ai été insensible du début à la fin. Ah c’est terrible, mais impossible de rentrer dedans (sans doute à cause du deuxième soucis). Je n’ai fait que tourner les 260 pages sans conviction, par curiosité et dépit (je n’aime pas arrêter un roman en plein milieu) mais pas par plaisir. Pourtant, le concept me plaisait : raconter à travers les yeux de Charlotte et de son entourage ce qui a conduit à l’écriture et à la publication de Jane Eyre. Sauf que les pensées de l’entourage sont minimes et personnellement, je me serais bien passée des passages sur les plaisirs nocturnes de l’infirmière ou bien de la nuit de noce des parents (non vraiment qu’est-ce que le point ??). Le pire étant que j’ai trouvé la Charlotte de Sheila Kohler bornée, égoiste et jalouse. Et ne parlons pas de la fin : je sais que c’est ainsi que les choses se sont à peu près passées mais la façon dont c’est raconté, entre l’éditeur et l’ami de la famille, j’ai bien cru un instant revoir Miss Potter

Tout cela est bien dommage car l’idée de départ me plaisait bien : comment Charlotte Brontë a eu l’idée d’écrire Jane Eyre, sur quels moments de sa vie s’est-elle basée, d’où lui est venue l’inspiration pour tel ou tel personnage… Et au final, ce sont ces quelques passages qui m’ont le plus intéressés.

Je crois que dans le fond je m’attendais à lire un roman dans la veine de Miss Charity mais avec un côté plus historique et la réalité l’emportant sur la fiction. Sauf que non : Sheila Kohler qualifie carrément les personnages de fictifs ! Genre, Charlotte Brontë est un personnage fictif ??? Ok c’est un roman donc fictif d’office, mais tous les gens mentionnés ont réellement existé ! Alors non ils ne sont pas fictifs, nous avons quand même entre les mains une biographie romancée ! Il aurait fallu leur donner d’autres noms pour que vraiment on les considère comme purement fictifs.

Enfin voilà, une déception pour moi malgré ses qualités (car oui il en a, mais pas suffisamment pour qu’il me plaise). Cependant, j’insiste, ce n’est que mon avis : les avis dithyrambiques fleurissent sur la toile et j’ai bien l’impression d’être l’une des rares à ne pas avoir aimé (la seule ?) aussi je vous conseille de le lire quand même – pour vous faire votre propre avis 🙂

Lu grâce à Babelio pour Masse Critique.

logo-challenge-victorien.png

La Vie Extraordinaire Des Gens Ordinaires – Fabrice Colin

Titre : La Vie Extraordinaire Des Gens Ordinaires
Auteur : Fabrice Colin
Editeur : Flammarion

vie extraordinaire des gens ordinaires

Résumé : Il me restait vingt adresses : vingt lieux éparpillés aux quatre coins du monde, et vingt histoires toutes plus incroyables les unes que les autres. C’est ce jour où le titre de ce livre m’est venu : La Vie extraordinaire des gens ordinaires. LISEZ. LISEZ, DE LA PREMIERE A LA DERNIERE PAGE. SI ÇA VOUS PLAIT, DEBROUILLEZ-VOUS POUR EN FAIRE UN LIVRE.

La Vie Extraordinaire Des Gens Ordinaires, c’est un livre extraordinaire sur des gens tout à fait ordinaires. Ou comment un jour, un lecteur ayant vécu toute sa vie la tête dans les livres décide de raconter ce qu’aucun autre n’avait jamais raconté : les histoires extraordinaires des gens ordinaires. Après des mois à écumer les pages des faits divers du monde entier, il ne garde que vingt histoires. Le voila alors partit aux quatre coins du monde à la rencontre de ces gens aux histoires si incroyables mais vraies.

Il fait ainsi la connaissance de Heinrich Mazdorf Ier, roi SDF prêt à déclencher la 3ème guerre mondiale, d’un chat immortel, d’une jeune écrivaine prodige de 11 ans ou encore d’un clown triste. Qu’il goûte aux plaisirs d’un restaurant au milieu de la montagne et de son eau si pure, et au seul thé au monde capable de vous faire littéralement planer. Qu’il découvre un immeuble sans portes, visite un parc d’attraction en pleine montagne, rencontre un habitant de l’Atlantide et un autre venu de la préhistoire.

20 histoires différentes (je dirais même 22, si on ajoute le point de départ du roman en lui-même, plus celle de l’homme qui a “voyagé” dans un nuage), et bien sur des préférences. Inspirer/Expirer déjà, qui m’a fait pleurer avec la thérapie par les larmes du Dr Jeffrey-Jeffrey. La plus touchante et bouleversante des histoires. Chez les Vivants aussi que j’ai trouvé très émouvante et si vraisemblable. Pareil pour Cent pour Cent Perdants et S’il le faut nous déclencherons la 3ème Guerre Mondiale.

Je vous avais bien dit que ce livre serait mon dernier, la plus tristement belle histoire avec cette fillette de 11 ans qui en écrivant son premier roman savait déjà comment se finirait le dernier. En compagnie de Mark Twain m’a fait sourire, et j’approuve totalement : je suis sûre moi aussi que de grands auteurs se réincarnent en chats ! Et que certains sont immortels. En fait, à part deux ou trois (sur 21 !) j’ai aimé toutes les histoires – ce sont des petites nouvelles, mais qu’il faut lire dans l’ordre.

J’ai été émue (beaucoup), j’ai pleuré (parfois), et j’ai noté des tas de noms d’auteurs (la faute à En compagnie de Mark Twain) et de musiques (la faute à Inspirer/Expirer)(et sans aucun doute mon histoire préférée!). Et je suis passée par une foule de sentiments pendant ma lecture, et surtout l’admiration : pour les connaissances de Fabrice Colin (et on revient à toutes les références musicales de Inspirer/Expirer), son style, et surtout son imagination.

Je suis une lectrice, je lis énormément et des choses variées. Et même si certains romans sont décevants, il y a au milieu des écrits qui nous émerveillent car ils ont ce petit truc qui fait que La Vie Extraordinaire Des Gens Ordinaires fait partie de ces romans.

Parce qu’il n’y a pas que Harry Potter dans la vie… # 1

Le 24 juin dernier, le site Pottermore a ouvert ses portes. C’était le buzz sur la toile, et tout le monde attendait ZE nouvelle de la part de JK Rowling. Certains, comme moi, s’en fichaient un peu, d’autres espéraient de tout leur coeur que la grande révélation serait un nouveau roman…. Et bien non !

Et là je me suis dit Mais… il n’y a pas qu’Harry Potter dans la vie ! Les 7 tomes sont sortis, Harry et tous les autres sont mariés avec un travail (et les enfants qui vont avec sinon c’est pas drôle) le dernier film sort dans 3 semaines environ… Il serait donc plus que temps de tourner la page non ?

D’où ce billet… Que lire maintenant que Harry est mort marié ?

Plein de choses ! J’ai donc fait une petite sélection tout à fait subjective de séries de romans dans la veine d’Harry Potter. Mais comme il y en a beaucoup (et d’autres encore qui me vienne à mesure que j’écris) on va y aller 3 par 3 (et parfois 1 par 1 si j’ai beaucoup de choses à dire)

Jeunes héros attachants, magie, action et émotion… c’est par là !

Le Voleur de Magie de Sarah Prineas

Gallimard Jeunesse
(4 tomes, dont 2 tomes publiés en français à ce jour)

Le voleur de magie 2

On suit ici les aventures de Connwaer, un enfant des rues qui un jour vole la locus magicalicus au mage Nihil Fugacious. Ce dernier, étonné que Conny n’ait pas été affecté par la magie de sa pierre (la magie de la pierre est si puissante, que seul le mage à qui elle appartient peut la toucher sans risques), il décide de le prendre sous son aile. Commence alors une vie d’apprenti pour Connwaer, avec ses bons et ses mauvais côtés.

Un monde magique des plus intriguants et intéressants. Sarah Prineas a eu de l’imagination en créant ce Wellmett, sa Rivière, son Crépuscule, son Palais de l’Aube. Conny est un personnage des plus attachants – futé, curieux et intrépide, il n’a pas son pareil pour se retrouver au bon endroit, au mauvais moment, et donc se retrouver mêler aux affaires louches.
On retrouve le domaine de la sorcellerie qui a fait le succès d’HP, mais avec un petit quelque chose en plus qui le rend si différent et sympathique.
Les livres en eux-mêmes sont de magnifiques objets, plein d’illustrations et même d’un “Petit Guide de Wellmett” dans le tome 2.

Percy Jackson de Rick Riordan.

Wiz (Albin Michel)
(5 tomes, tous publiés en français)

Je vous en avais déjà un parlé ici. On suit donc Percy Jackson, hyperactif et dyslexique de 12 ans qui découvre un jour bien malgré lui qu’il est le fils de Poséïdon. Le voila donc partit au camp des Sang-Mêlés, où il va apprendre à se battre, à contrôler ses pouvoirs et en découvrir de nouveaux. Toujours accompagné de Annabeth, fille d’Athéna et de Drover, son gardien apprenti, Percy va se retrouver embarqué dans des aventures chaque fois plus dangereuses.

Sur la forme, c’est sans aucun doute celui qui rappelera le plus Harry Potter, mais sur le fond, rien à voir : Rick Riordan nous plonge au coeur de l’histoire, et plus précisément de la mythologie grecque. Ces dieux que nous avons entendu parlé à l’école, prennent vie devant nos yeux, on apprend à les connaître, et pour certains,voire même à les apprécier. (et on ne verra plus jamais les enfants dyslexiques et/ou hyperactifs de la même façon…)

 

Belladonna Johnson de Helen Stringer

Wiz (Albin Michel)
(1 tome paru en français à ce jour)

Belladonna Johnson parle avec les morts

Belladonna Johnson a un don particulier : elle peut voir les morts. Mais contrairement à d’autres qui le découvrent, paniquent et que sais-je encore, Belladonna en est consciente depuis toujours. C’est d’ailleurs ce don qui lui permet à 12 ans d’habiter seule… Enfin, pas si seule : elle vit avec ses parends. Seul problème : ce sont des fantômes ! Et ils ne peuvent pas sortie de la maison. Belladonna s’en accomode très bien… jusqu’au jour où les fantômes commencent à disparaitre. Et un monde sans fantôme est un monde dangereux, car les fantômes nous protègent. Voila donc Belladonna partie dans le monde des morts à la recherche des fantômes, accompagnée de Steve, un camarade de classe exaspérant, mais que plus rien n’étonne et de Elsie, jeune demoiselle rencontrée dans un grenier.

Un style simple et clair, directement destiné aux plus jeunes mais qui ravira tout autant les plus vieux. Beaucoup de “comme par hasard, ils tombent pile sur ce dont ils avaient besoin”, et on se doute d’avance que tout finira bien, mais là encore un bon moment de passé !!

La prochaine fois, on parlera de Bobby Pendragon, La Trilogie de Bartiméus, Artemis Fowl et d’autres encore !

Au secours, Scarlett – Maureen Johnson

Je comptais faire un billet sur Suite Scarlett, mais Emilie de Oh My Books ! en a écrit un tellement bien et dont j’approuve chaque mot, qu’à la place je vais juste vous renvoyer vers son billet qui est juste LA  et me concentrer sur la suite, à savoir… 

Titre : Au secours, Scarlett
Titre VO : Scarlett Fever
Editions : Scripto (Gallimard)
Auteur : Maureen Johnson

9782070632541FS.gif

Résumé : C’est la rentrée chez les Martin à New York ! Un nouveau voisin de classe pour Scarlett, aussi agaçant qu’attirant ,un job d’assistante à l’agence de l’insupportable Mrs Amberson, un rôle pour Spencer dans la série télé la plus populaire, une soirée de mariage grandiose et inattendue… Et Eric qui n’appelle toujours pas ! Amours, castings, disputes et confidences… Les frère et soeurs de l’hôtel Hopewell nous font rire et rêver.

Nous avions quitté Scarlett au milieu de l’été, nous la retrouvons maintenant à la rentrée des classes. Mrs Anderson a quitté l’hôtel, mais pas la vie de la famille Martin. Eric n’a toujours pas appelé, et Spencer a raté une audition. Et pour ne rien arranger, Mrs Anderson a chargé Scarlett de devenir amie avec sa nouvelle cliente Chelsea, et de surveiller son frère Max. Entre le lycée qui reprend, Max en voisin de table, Lola qui se cherche, Spencer qui subit les affres de la célébrité, Marlène qui se comporte bizarrement, et Eric qui n’appelle toujours pas, les journées de Scarlett vont être bien chargées.

Et ce, pour notre plus grand bonheur ! J’avais beaucoup aimé le tome 1, mais j’avoue l’avoir trouvé un tantinet lent. Cette fois, tout s’enchaîne, et on ne s’ennuie pas une minute ! Maureen Johnson n’en fait jamais trop, ni trop peu : même si la famille semble idéalisée, tout sonne juste. Les relations fraternelles, les péripéties, les sentiments, les actions des personnages… Chez Maureen Johnson pas de pouvoirs, ni de phénomènes paranormaux, juste des gens comme vous et moi, et leur quotidien plutôt mouvementé. Cela se fait rare dans la littérature jeunesse je trouve et c’est d’autant plus appréciable alors de passer du temps avec des personnages aussi fantastiques. Ils apportent à eux seuls tout le fantastique et l’extraordinaire nécessaires à l’histoire !

Voila d’ailleurs ce que j’aime tant dans cette série : ses personnages. Une famille comme ça, on rêverait tous de l’avoir.  Bien sûr, ils se chamaillent, se détestent parfois, en viendraient aux mains s’ils le pouvaient, mais ils n’en restent pas moins tous unis. C’est une famille unie, aimante, attachante, et qui se serre les coudes quoiqu’il se passe. L’hôtel tombe en morceaux, les clients sont rares, les finances au plus bas ? Qu’importe. Ils sont ensemble, c’est tout ce qui compte.

Les enfants Martin sont les plus mis en avant, tout particulièrement Scarlett et son frère Spencer. Ce frère qu’on aimerait toutes avoir (en copain, ça m’irait aussi perso). La relation entre les deux est vraiment belle et touchante. Ils sont vraiment prêts à tout l’un pour l’autre. Depuis toute petite Scarlett aide son frère pour ses auditions, ce qui donne droit à des petites scènes bien drôles. Ce qui est paradoxal quand on sait que Scarlett, bien qu’habitant près de Broadway, et avec un frère acteur, ne s’intéresse absolument pas au monde du spectacle.

Transition toute trouvée pour en venir à l’autre chose qui me fait tant aimer cette série : New-York. Et plus précisement le côté Broadway de New-York. Spencer est un acteur, et Mme Amberson, son agent, donc bien évidemment le monde du théâtre est très présent. Mais ce n’est pas le monde de strass et paillettes auquel on pourrait s’attendre. Etre un acteur de métier, c’est dur. Très dur. Il faut s’accrocher pour y arriver, et surtout faire des sacrifices. Cet aspect est bien mis en avant avec les personnages de Chelsea et de sa mère. Et dans une moindre mesure, celui du frère, Max (nouveaux venus qui vont d’ailleurs avoir un fort impact dans la vie déjà bien chamboulée de Scarlett) Maureen Johnson nous montre là l’envers du décor, les difficultés pour décrocher une audition, les galères que la célébrité occasione… 

Au secours, Scarlett confirme Maureen Johnson parmi mes auteurs préférés. Avec la famille Martin elle nous fait rire, pleurer, rêver. On tourne les pages, encore et encore, et c’est avec un petit pincement au coeur qu’on referme le livre, qu’on dit au revoir à cette adorable famille haute en couleur.

Mais heureusement, ce n’est que provisoire, car un troisième et dernier tome est prévu au programme ! Aucune date pour l’instant, mais je suis déjà impatiente de le lire !

(PS : Si ce n’est pas déjà fait, du même auteur vous pouvez lire 13 Petites Enveloppes Bleues qui est tout aussi génialissime)

20/05/2011 : Parution de Wicked de Gregory Maguire

Après des années d’attente (oui oui, des années, carrément)(au moins 5 en tout cas, entre le moment où l’annonce d’une édition française a été faite et la vraie sortie du roman), Wicked débarque enfin en France. Et plus précisément : en version française ! (oui parce qu’en France, il est déjà disponible depuis 1995)(au moins)

1105-wicked.jpg

Je vous avais parlé de ce roman qui avait été un coup de coeur autant qu’une révélation, l’année dernière, juste ICI, et du musical qui en avait été tiré, juste LA. Et bien maintenant, vous allez pouvoir vous faire votre propre idée du roman, car la merveilleuse maison d’édition qu’est Bragelonne nous l’offre en français !

Et qui plus est, dans une magnifique édition reliée ! (Bon, au moment où j’écris, je n’ai pas encore le livre à ma disposition, mais je suis sûre et certaine qu’il sera magnifique)(aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur d’ailleurs)(Suffit de voir la couverture).

Il sera, dès demain, disponible un peu partout pour la modique somme de 25€ – et si tel n’est pas le cas, et bien, boycottez votre libraire dès l’instant ! Certes, 25€ c’est un peu élevé, mais le roman vaut le prix – et c’est une édition reliée ! Le truc tellement beau que vous n’oserez même pas l’ouvrir. (Hum… fausse bonne idée en fait l’édition reliée…)

Pour le musical, il faudra attendre encore un peu, aucune version française n’est prévue au programme pour l’instant ! (et tant mieux ! Je vois mal “Defying Gravity” en français)(roooh en fait si, j’imagine bien : “Il est teeeeeemps d’essayer de défiiiiiier laaaa graviiiiité ! Je crois que je vaiiiis essayer de défiiiiiiier laaaaa graaaaaviité ! Et vous ne pouuuuveeeez me faiiiire tombeeeeeeeer”)(ça craint, on est d’accord ?)

Enfin voila quoi.
Tout ça pour dire : hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

A vous Elphaba, Glinda, Fiyero, Boq et tous les autres en français !!

(Non, ce billet n’est en aucun cas sponsorisé !)

(Un jour, j’arrêterai les parenthèses)
(ou pas)