À pied d’œuvre, ou quand un photographe à succès perd le goût de son art, décide de tout abandonner pour se consacrer à l’écriture et découvre la valeur de l’argent… (suite…)

ou l’herméneutique du quotidien
ou l’herméneutique du quotidien
À pied d’œuvre, ou quand un photographe à succès perd le goût de son art, décide de tout abandonner pour se consacrer à l’écriture et découvre la valeur de l’argent… (suite…)
Chuseok 추석 est l’une des deux plus importantes fêtes traditionnelles et familiales en Corée. Depuis 1989, elle donne d’ailleurs lieu à trois jours de congés : le jour de Chuseok, ainsi que la veille et le lendemain. Cela afin de permettre aux coréens de rentrer dans leur village natal (ou ancestral) pour les célébrations.
(suite…)Chronique désenchantée de ses années passées dans la capitale allemande, Christopher Isherwood fait, à travers une série de personnages fictifs inspirés de rencontres réelles, le portrait d’un pays aux prises avec le national-socialisme et raconte la descente aux enfers d’une ville qui était jusque-là synonyme de liberté d’esprit et de mœurs.
Paru en 1939, traduit pour la première fois en français en 1946, Adieu à Berlin passa dès 1951 des rayons des librairies à la scène, date à laquelle John Van Druten en tira une pièce de théâtre intitulée I Am A Camera. S’ensuivirent un film adapté de la pièce de théâtre en 1955, une comédie musicale (Cabaret) en 1966 et un film adapté de la comédie musicale en 1972.
Un court roman, idéal pour une pause-déjeuner littéraire, et qui m’a rappelé pourquoi j’aime autant les voyages en train.
Un premier roman intéressant mais qui manque de profondeur, de conviction, d’émotion; il s’en dégage comme un sentiment de voir raconter l’Histoire et l’histoire plutôt que la vivre, une envie de dire quelque chose plutôt qu’avoir vraiment quelque chose à dire.